LES CAFES PARENTS

5 Déc 2012

L’association Kemil et ses amis organise autour d’un bon café, des échanges cadrés sur des problématiques en lien avec le handicap de l’enfant.

Un moment d’échanges

Au bout de 3 ans d’existence et de rencontres en VRAI avec les familles membres de notre association, le Café Parents devient très vite une évidence. Les discussions sont nombreuses, les mêmes thèmes reviennent souvent et l’échange fait … du bien !

Cette initiative n’est pas la plus difficile à mettre en place. Nous avons tout de même souhaité que la rencontre soit animée par une psychologue impliquée et dynamique. Natacha KNITTEL remplit très bien cette fonction ! Après l’avoir rencontrée, après avoir défini ensemble les orientations de ces rencontres, le premier Café Parents a eu lieu le samedi 23 juin 2012. Le premier d’une longue série !

Lors de notre première rencontre, les mamans – nous pensons rebaptisé ce Café Parents en Café Mamans, les Papas sont les bienvenus mais restent bien moins bavards que nous – ont fait connaissance autour de bonnes gourmandises préparées par Laëtitia pendant que d’autres étaient coincées dans un embouteillage monstre. Nous avons tout de même réussi à toutes nous réunir.

Lors de notre deuxième rendez-vous, un thème a été choisi en fonction des retours du questionnaire adressé par l’association. Nous sommes en septembre et avons donc échangé autour du sujet : La rentrée, une nouvelle organisation pour cette année. Nous étions nombreuses et les personnes présentes se sont même proposé pour accueillir le Café Parents à leur domicile. L’idée est de réduire les dépenses de l’association. Un grand merci pour cette initiative qui rend le moment encore plus convivial !

La troisième fois chez Isabelle, le thème défini a été : Parents à tout faire, comment faire ? Nous cumulons tellement de casquettes qui font appel à une vraie disponibilité et surtout à une grande polyvalence, remplissons tellement de fonctions au quotidien que nous sommes vite overbookés, dépassés. Ce sujet ne peut laisser indifférent des parents comme nous qui avons dû adapter et ré-adapter nos vies à la maladie de nos enfants.

Ces moments de bonne humeur mais riches en échanges sont primordiaux. Nous nous apercevons que les ressentis sont souvent partagés et que les problématiques au quotidien restent les mêmes.

Share This